Pompes funèbres : Bondy (93140) Afficher la carte

Choisir des pompes funèbres à Bondy

La commune de Bondy, située dans le département de Seine-Saint-Denis (région Île-de-France), réunit 44 223 habitants, les Bondynois et Bondynoises. 

Le coût moyen d’une crémation à Bondy est de 2 804 € alors que l’inhumation s’avère un peu moins chère et oscille autour de 2 354 €.  

En 2020, la ville de Bondy a enregistré 267 décès. Depuis quelques années, les pompes funèbres organisent davantage de crémations. En effet, les familles se veulent plus soucieuses de l’environnement. On estime que la crémation dégage bien moins de CO2 qu’un enterrement.  

Qu’est-ce qui caractérise la ville de Bondy ?  
Bondy est la ville qu’habita, dès l’âge de 4 ans, André Malraux, célèbre écrivain et ministre. Une plaque située au 20 rue Salengro (ancienne rue de la Gare) indique l’emplacement de l’épicerie familiale au-dessus de laquelle il logeait.

Parmi les éléments importants de Bondy, on peut également relever l'école de musique du XIXe siècle, l’école du Mainguy, édifiée en 1893 ou le canal de l'Ourcq qui remonte à 1822. 

Bondy, c’est aussi une ville d’histoire, avec, par exemple la chapelle Notre-Dame des Anges, devenue maison des artistes puis église orthodoxe. L’église Saint-Pierre du XIIIe siècle, détruite puis reconstruite au cours du XIXe, apporte aussi son cachet historique, tout comme les anciens bains-douches, édifiés en 1924, et parfaitement conservés.  

À noter : La mosquée de Bondy est la première vraie mosquée construite en Seine-Saint-Denis.  

Pourquoi faire appel aux pompes funèbres de Bondy ?
Dès que la famille a déclaré le décès d’un proche dans la ville, la loi française l’oblige à contacter les pompes funèbres en Seine-Saint-Denis de son choix, qui organiseront les obsèques. Les démarches sont à réaliser avec le conseiller funéraire dans les 6 jours ouvrables suivant la disparition.

Les pompes funèbres de Bondy ont pour mission de soutenir les familles en deuil et organisent les obsèques du défunt dans le respect de ses dernières volontés. C’est la loi du 15 novembre 1887 qui institue le respect strict des souhaits d’une personne autour de sa fin de vie.

La famille sera amenée à choisir le type de cercueil ou l’urne funéraire, la pierre tombale, la plaque funéraire, la marbrerie et les fleurs de deuil. Elle donnera aussi des directives sur les soins à pratiquer sur le défunt et les prestations facultatives que peuvent prendre en charge les pompes funèbres.

Ainsi, si elle le souhaite, la famille pourra également faire paraître un avis de décès pour informer les membres éloignés, collègues et connaissances du défunt, de sa disparition. Ceux-ci seront ainsi en mesure d’être avertis, d’adresser leurs messages de sympathie aux proches et d’organiser leur visite à la cérémonie d’obsèques mise en place par les pompes funèbres de Bondy.  

Peut-on ajouter des objets personnels dans le cercueil du défunt ?  
D’abord, on distingue l’inhumation de la crémation. 

Pour l’inhumation, l’objet doit être biodégradable pour éviter de polluer les sols et il ne doit pas ralentir le processus de décomposition du corps. Les chaussures, par exemple, sont donc retirées.  

Pour la crémation : on interdit tout ce qui est métallique ou contient une pile, y compris le pacemaker, ainsi que tout ce qui peut abîmer le four ou produire beaucoup de fumée.  

On ne peut pas, non plus, mélanger le défunt avec ses animaux de compagnie au nom du principe de dignité du Code civil.  

Généralement, sont facilement acceptés :
- Les photos de famille ;
- Les alliances et autres bijoux ;
- Les livres ;
- Les journaux intimes ;
- Les diplômes et récompenses ;
- Des petits mots ;
- Les médailles ;
- Des symboles religieux ;
- Des jouets sauf certaines peluches qui peuvent dégager des fumées toxiques.

Les pompes funèbres doivent donc parfois refuser les demandes de certaines familles. Il est important de les solliciter pour savoir ce qui est autorisé ou non et ne pas être déçu le jour venu. 
(crédit photo : iStock)