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Choisir des pompes funèbres dans l'Oise

Beauvais, Compiègne et Creil sont les trois villes les plus peuplées du département de l’Oise. Ses habitants, les Isariens, représentent la troisième population la plus importante de la région des Hauts-de-France. L’Oise fait partie des départements français assez pauvres, avec un revenu moyen de la population autour de 2 428 euros net par mois. Plusieurs fêtes religieuses s’y déroulent tout au long de l’année, notamment la procession de la Fête-Dieu à Compiègne en juin, organisée par la Fraternité Saint Pie X.  

En 2019, l’INSEE a recensé 6 005 décès dans le département. Les 86 organismes de pompes funèbres de l’Oise ont alors pris en charge et organisé avec les familles les funérailles de ces êtres chers disparus. Dans le cas d’une inhumation comme d’une crémation, les pompes funèbres en charge des obsèques proposent un large choix de cercueils. On retrouve d’ailleurs dans l’Oise l’entreprise Bernier Frères, spécialisée dans la confection et la vente de cercueils. D’autre part, le département compte 3 crématoriums. Pour offrir aux défunts les cérémonies religieuses qu’ils souhaitent, le département dénombre des centaines d’églises, 21 mosquées et 5 synagogues qui permettent aux proches de se recueillir une dernière fois autour de lui avant son dernier voyage.  

À la suite du décès, le conseiller funéraire accueille les familles isariennes pour organiser les funérailles de leur proche décédé. Ensemble, ils disposent de six jours ouvrables pour planifier la cérémonie d’hommage du défunt, qui reflétera sa vie et ce qu’il représentait pour sa famille et ses amis. 
Dans le respect des dernières volontés du disparu et des souhaits de chaque membre de la famille, le conseiller funéraire les accompagne dans la préparation d’obsèques dignes, uniques et émouvantes.  

Lorsque le défunt avait souscrit de son vivant, un contrat obsèques, les pompes funèbres choisies lors de cette souscription se chargent de respecter ses volontés (choix du cercueil, type de cérémonie, choix des fleurs et gerbes, rédaction et publication de l’avis de décès, choix des objets funéraires, de la marbrerie…). Cette prestation d’anticipation permet d’épargner à la famille la prise de ces lourdes décisions à l’annonce du décès. Chaque proche peut alors se laisser porter par les experts funéraires en charge des événements et se consacrer à son deuil. Une fois l’avis de décès publié sur un site spécialisé ou dans un journal de presse, les pompes funèbres veillent au bon déroulement de chaque étape précédant les funérailles, jusqu’à la fin de la cérémonie.  

Dans le cas d’un décès à domicile, comme ce fut le cas pour 1 204 Isariens en 2019, la première chose à faire reste d’appeler le SAMU ou un médecin afin d’obtenir un certificat médical de décès. Il faut ensuite procéder à la déclaration de la mort à la mairie, muni de la pièce d’identité du déclarant et de celle du défunt, présenter le livret de famille et le certificat de décès. Un acte de décès vous est alors délivré par l’officier d’état civil et vous pouvez contacter les pompes funèbres pour qu’elles s’occupent des funérailles. Le transfert du corps doit néanmoins se faire au plus tard 48 heures après le décès.  

La même année, on comptait 3 187 décès survenus à l’hôpital et 626 dans des établissements pour personnes âgées. Dans ces cas-là, le personnel soignant constate le décès et le directeur de l’établissement s’occupe de la déclaration de celui-ci auprès de la mairie. Le défunt est ensuite conduit, dans les deux cas, à une chambre mortuaire où il reste jusqu’au jour des obsèques. Certains hôpitaux n’en disposent pas, le corps peut alors être transféré vers celle d’un autre établissement ou dans une chambre funéraire privée. 

(Crédit photo : istock)